Plus ancien orchestre symphonique en France, l’orchestre Pasdeloup se produit depuis un siècle et demi. Sous l’impulsion de sa présidente, Marianne Rivière, – violoniste élue par les musiciens –, il interprète un répertoire éclectique, allant des grands chefs d’œuvre classiques aux compositions contemporaines, en passant par les comédies musicales ou d’inédites créations avec jazz, cinéma, arts corporels ou pluri-orchestres.

Présent dès son ouverture à la Philharmonie de Paris, l’orchestre Pasdeloup perpétue l’intuition de son fondateur éponyme : les concerts populaires qui mettent en relation la musique et les publics les plus divers. Sous statut associatif, l’orchestre s’auto-administre et définit lui-même sa programmation, ses productions et ses orientations musicales. Les quatre-vingt musiciens sociétaires permanents participent à toutes les décisions de la vie de l’orchestre.

Une autre originalité de l’orchestre Pasdeloup tient à ce qu’il n’a pas de chef permanent ; Marianne Rivière invite les plus grands chefs du monde entier de manière régulière à chaque saison, chacun avec des sensibilités propres qui ouvrent son répertoire à des genres originaux, larges et variés.

S’il se produit prioritairement à Paris, l’orchestre joue également en France et à l’étranger, notamment dans les pays du Maghreb où il a été, pour certains, le premier orchestre français à y être invité. L’orchestre Pasdeloup a noué des partenariats avec d’autres orchestres de différents pays et, grâce à des échanges fructueux, promeut la cofertilisation croisée des cultures.

La critique unanime salue l’excellence de l’orchestre Pasdeloup dans des registres multiples : théâtre musical, chorégraphies, opéras, sans oublier le répertoire symphonique sa vocation principale et première.

Le choeur est subventionné par la Région Île de Région île de France et reçoit le soutien de la Ville de Paris et du Credit Nord dans l'objectif de valoriser une patigue artistique amateur 

Le chœur a été fondé en 1987 à l'initiative du Conseil régional d'Ile-de-France. Vittoria d'Ile de France a été créée pour soutenir des orchestres, dont l'Orchestre National d'Ile-de-France, l'Orchestre Lamoureux, l'Orchestre National de Lille et l'Orchestre Philharmonique du Luxembourg. La collaboration avec des chefs d'orchestre de renommée mondiale a fait du chœur de Vittoria un lieu unique pour les chanteurs amateurs, fascinés par un répertoire vocal exigeant, connu non seulement en France, mais aussi dans le monde entier.

Vittoria est composée d'environ 70 choristes amateurs qui se produisent sur les plus grandes scènes françaises. Une forte identité, marquée par la passion et la curiosité lui a assurée une place importante dans les oratorios nationaux. Les chanteurs se distinguent par leur profond lien avec la musique française, qui se manifeste également dans leurs voyages avec des compositeurs moins connus tels que Martial Caillebotte, Jean Cras et Joseph-Guy Ropartz. Il est très important pour eux de maintenir un équilibre, c’est pourqoui dans un même temps ils ne se refusent pas des rapports avec les compositions de Mozart ou de Bach.

L'objectif principal du chœur est de populariser la musique classique, mais il n'a également pas peur de projets audacieux et interdisciplinaires. En témoigne, entre autres, l'impressionnante discographie composée de 19 enregistrements, lauréat de nombreux prix, dont l'enregistrement de « Roi David » d'Arthur Honegger qui a reçu le prix prestigieux Victoire de la Musique Classique en 1998.

Le directeur musical du chœur est Michel Piquemal, passionné par la redécouverte d'œuvres du répertoire de la musique classique oubliée. Il transmet également ses connaissances musicales lors de cours de chant, de cours de maitre et de festivals.

Le chœur régional Vittoria d'Île-de-France est subventionné par la Région Île de Région île de France et reçoit le soutien de la Ville de Paris et du Credit Nord dans l'objectif de valoriser une patigue artistique amateur 

Le jeune chœur de l'Ensemble Vocal de l'Abbaye de la Cambre a été fondé en 2015. Il est composé de chanteurs professionnels bruxellois, fascinés entre autres par la musique baroque, sacrée et romantique. C'est un ensemble vocal sous la direction artistique d'Anthony Vigneron, amoureux de la musique du XIXe siècle. Pendant les concerts, il revient à des chefs-d'œuvre oubliés, tant sur les scènes belges qu'internationales.

L'Ensemble Vocal de l'Abbaye de la Cambre coopère avec l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, l'Orchestre Art Hulencourt et le Concerto Armonico Budapest. En octobre 2018, le chœur a enregistré son premier album « Esprit du vent » consacré à la musique du XIXe siècle en France et en Belgique, qui sera publié en février 2019.

Il mène une vie orchestrale active sur les scènes du monde entier. David Dubal a bien décrit son art de chef d'orchestre après un concert au Carnegie Hall de New York, attirant l'attention sur « une grande sensibilité et un sens incroyable du son des instruments de l'orchestre ». Le concert de Monika Wolińska au Carnegie Hall s'est terminé avec un grand succès et une standing ovation et a été le premier concert de l'histoire, au cours duquel une polonaise s'est tenue derrière la chaire du chef d'orchestre.

Elle collabore avec des orchestres en Pologne et dans de nombreux pays d'Europe, d'Asie et d'Amérique. Elle a commencé sa formation artistique complète à l'âge de six ans. Elle est diplômée de trois facultés : violon et direction des ensembles vocaux-instrumentaux (Académie de Musique de Bydgoszcz) et direction symphonique-d’opéra dans la classe du professeur Ryszard Dudek (Académie de Musique à Varsovie). Elle a participé à de nombreux cours de maitre, dirigés entre autres par Kurt Masur, Pierre Boulez, Antoni Wit et Gabriel Chmura. En 2015, elle a terminé ses études de troisième cycle en management générale à la Faculté de Gestion de l'Université de Varsovie.

Elle a débuté comme chef d'orchestre en 2004 au Festival de Musique de Lucerne, sous la direction de Pierre Boulez. Pendant de nombreuses années, elle a collaboré avec le maestro Jerzy Semkow et a assisté le professeur Krzysztof Penderecki pendant la saison 2007/2008. De 2003 à 2009, elle a collaboré avec l'Orchestre Symphonique de l'Académie de Musique de Varsovie. Au cours de la saison 2007/2008, elle a rempli la fonction de chef d'orchestre permanent de l'Orchestre Polonais Sinfonia Iuventus. De 2013 à 2017, elle a été Directrice Artistique et chef d'orchestre de l'Orchestre Philharmonique de Gorzów, avec lequel en novembre 2015 elle a enregistré l'album Bronisław Kaper / Jan A. P. Kaczmarek – SPOTKANIE (fr. RENCONTRE). En 2012, sort le premier album de Wolińska, enregistré avec Sinfonia Varsovia, contenant un ensemble de poèmes symphoniques du grand compositeur polonais Eugeniusz Morawski. L’album a reçu d'excellentes critiques et a été nominé pour le prix Fryderyk 2013. En juin 2017, Wolińska faisait partie des six finalistes des meilleurs chefs d'orchestre du monde entier, sélectionnés par concours parmi 161 candidates, et a reçu une invitation au programme 2017 du Hart Institute for Women Conductors de l'Opéra de Dallas.

Elle est une promotrice dévouée de la musique contemporaine. Elle s'est produite à plusieurs reprises au Festival L'Automne de Varsovie et au Festival Générations. De 2013 à 2017, elle a rempli la fonction de directrice artistique du Festival de Musique Contemporaine Wojciech Kilar. En 2014, elle a dirigé la première du spectacle musical et historique Universa – Opéra Ouvert Jan A. P. Kaczmarek, pièce écrite à l'occasion du 650ème anniversaire de l'Université Jagellonne. En octobre 2014, elle a dirigé un concert à la Philharmonie de Gorzów avec l'un des barytons les plus remarquables de notre époque, Thomas Hampson. Le concert était la première apparition de l'artiste en Pologne. Elle a écrit le livre Stanisław Wisłocki – chef d'orchestre et pédagogue (2005). Elle est professeur associé à l'Université de Musique Frédéric Chopin de Varsovie, où elle enseigne la direction d'orchestre symphonique et d'opéra.

En 2011 Monika Wolińska a été décorée par le Ministre de la Culture et du Patrimoine National de l'insigne honorifique « La médaille du mérite pour la culture polonaise ». En 2013, dans le cadre du programme « Pologne plus belle dans l’Union Européenne « , elle a reçu un diplôme « Pologne plus belle » décerné aux « personnes créant la beauté, dont nous pouvons être fiers devant le monde ». En 2016, le Rotary Club de Gorzów Wielkopolski lui a décerné la statuette « Succès » pour la promotion de la ville de Gorzów Wielkopolski en Pologne et à l'étranger.

En 2018, elle a reçu un prix spécial pour l'ensemble de son travail artistique sous la forme d'une statuette en argent pour ses succès dans le domaine de la création artistique, la diffusion et la protection des biens culturels de Kazimierz Andrzej Jaworski, décerné par le Maire de la ville de Chełm.

Un jeune basse-baryton champenois, membre du trio a cappella Celticanto spécialisé dans la musique irlandaise, joué dans le style opéra bel canto, fondé début 2013 à Bruxelles. Il étudie au Koninklijk Conservatorium de Bruxelles et chante à l'Opéra Flamand d'Anvers.

Elle est née en 1986 à Łódź, où elle a également perfectionné son talent musical. En 2010, elle a obtenu son diplôme avec mention de l'Académie de Musique Grażyna et Kiejstut Bacewicz dans la classe du professeur Grażyna Krajewska-Ambroziak. Alors qu'elle était encore étudiante, elle a fait ses débuts à l'opéra dans des spéctacles d’étudiants, jouant le rôle de Marcelina dans « Les Noces de Figaro » de W.A. Mozart et de Sextus dans l'opéra « Jules César » de G.F. Haendl. Dans le cadre du programme Erasmus elle a réalisé son dernier semestre au Koninklijk Conservatorium Brussel.

Kinga Borowska a développé son talent sous la direction d'artistes tels que José Van Dam et Jocelyne Dienst, faisant partie d'un studio d'opéra à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Waterloo. En 2011, créant le rôle de la femme thébaine dans l'opéra « Oedipe » de George Enescu, elle a débuté sur la scène professionnelle de La Monnaie à Bruxelles. Par la suite, elle s'est produite à de nombreuses reprises sur les scènes belges, et s'est également produite à plusieurs reprises pour la Famille Royale Belge, notamment dans le Concert de Noël en 2010.

Elle s'est produite à plusieurs reprises sur la scène de l'opéra La Monnaie. Kinga Borowska, actuellement doctorante à l'Académie de Musique de Łódź, a également participé au spectacle « Be with me now » et à une tournée en Europe organisée à l'occasion du 5ème anniversaire du Réseau Européen des Académies d'Opéra. L'artiste a été décorée à de nombreuses reprises pour ses succès précédents, tels que le Prix de composition Dioraphte au 51e Concours International de chant de ‘s-Hertogenbosch pour son interprétation d'une chanson contemporaine de Monique Krüs.

La soprano roumaine est née en 1974 à Bucarest. Elle a fait ses études à l'école de musique Dinu Lipatti dans la capitale de la Roumanie. Ce n'est qu'après l'obtention de son diplôme qu'elle décide de se spécialiser dans le chant lyrique. Ana-Camelia Stefanescu a remporté de nombreux concours locaux, dont le Concours international de chant de Verviers, mais sa carrière internationale a débuté pour de bon en 1996 après avoir remporté le deuxième prix du Concours musical international Reine Elizabeth de Belgique.

En tant qu'artiste principale de l'Opéra National Roumain, elle a chanté de nombreux rôles, dont la Reine de la Nuit, où elle a fait ses débuts également avec grand succès au Teatro Comunale de Florence, au Staatsoper de Berlin et au Vienna National Opera. Lorsque la production berlinoise a été invitée au Japon, le chef d'orchestre Daniel Barenboim a choisi Ana-Camelia Stefanescu comme Reine de la Nuit. La soprano a eu un aussi grand succès en tant que première Ofelia dans une pièce exposée à l'Opéra National du Rhin à Strasbourg.

Ana-Camelia Stefanescu donne régulièrement des récitals en Italie, Belgique, Espagne, Pologne, Gibraltar, Suisse, France, Roumanie, Pays-Bas, Luxembourg, Portugal et Royaume-Uni. Son acquis artistique comprend également des représentations conjointes avec le célèbre basse-baryton José van Dam en Belgique et au Luxembourg. En tant que soprano, elle a collaboré entre autres avec des orchestres tels que le London Philharmonic Orchestra et la Staatskapelle Berlin. Son nouveau répertoire comprend entre autres le rôle de La Fée dans l'opéra « Pinocchio » composé par Philippe Boesmans (2017).

Maciej Kwaśnikowski est né en 1992 à Poznań, et son aventure musicale a commencé à l'âge de 9 ans dans la chorale de la cathédrale de Poznań. Diplômé de l'Université Politechnique de Poznań, il a perfectionné ses compétences vocales dans les années 2015-2017 en participant au programme « Académie de l'Opéra » pour la formation des jeunes talents à l'Opéra National de Varsovie. De 2014 à 2016, il a étudié le chant chez Robert Nakoneczny, et à partir de 2016 il est formé par le ténor de renommée mondiale Neil Shicoff. Depuis 2017 il est membre du studio d'opéra de l'Opéra Bastille à Paris.

Ces dernières années ont été riches en représentations de Maciej Kwaśnikowski. En 2017 il s'est produit entre autres au Festival Salzburger Fespiele dans le rôle de Herr Herz dans l'adaptation contemporaine du Directeur du Théâtre Mozart, a interprété des parties solistes de la Passion selon saint Jean Bach à la Philharmonie d'Opole dirigée par Przemysław Neumann et la Messe en bémol majeur de Schubert au Festival Fränkischen Musiktage en Allemagne, et fait ses débuts à Opéra Bastille comme Der junger Herr à Reigen de Boesmans. Il a également participé à des programmes pour jeunes artistes en France, à Amsterdam et à Salzbourg.

En 2018, il a interprété des parties solistes entre autres dans la Messe du Couronnement en do majeur de Mozart avec l'Orchestre du Mozarteumorchester de Salzbourg et la Messe en mi bémol majeur de Schubert avec l'Orchestre philharmonique de Vienne. En deux ans, il a également été lauréat de concours internationaux, dont la première place dans la catégorie opéra du Concours international de chant de Marseille (2017) et un prix spécial du jury au Concours international de chant de Marmande (2018). Au cours de la saison 2018/2019, il jouera le rôle d'Alfred dans « La Chauve-Souris (Die Fledermaus) » de Strauss dans la production du studio d'opéra de l'Opéra Bastille.

Janusz Olejniczak est l'un des pianistes polonais les plus remarquables, se produisant dans le monde entier, doté d'une sensibilité sans précédent et d'une musicalité unique. En 1970, il était le plus jeune lauréat du Concours International Frédéric Chopin. Deux ans plus tard, il a remporté un prix au concours international Alfred Casella de Naples.

Janusz Olejniczak se produit dans les plus grandes salles de concert en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique. L'artiste est célèbre pour ses interprétations de Chopin, il joue aussi avec enthousiasme de la musique de chambre et de la musique contemporaine de compositeurs polonais comme Kilar, Lutosławski Górecki. Il est un invité régulier du célèbre festival de Varsovie, Chopin et son Europe.

Janusz Olejniczak est l'interprète des parties de piano pour « Le Pianiste » de Roman Polański, « Chopin. Désir d’amour » de Jerzy Antczak et « La Note Bleue » de Andrzej Żuławski. Dans la dernière de ces œuvres, il est également apparu comme acteur, jouant le rôle de Chopin. Son acquis artistique comprend également plus de 40 albums. Janusz Olejniczak a reçu huit fois le prix « Fryderyk », dont dans la catégorie « Album de l'année – Musique solo » pour un album avec les concertos pour piano-forte de Chopin (1995).

Pour ses réalisations dans le domaine de la musique, il a également reçu la Croix d'Officier de l'Ordre Polonia Restituta (2000) et la Médaille d'Or du « Mérite culturel polonais Gloria Artis » (2005).

Diplômé du Conservatoire de Paris, il remporte le Grand Prix d'improvisation d'orgue de Beauvais (1989), et l'année suivante, il est finaliste au Grand Prix de Chartres. En tant qu'organiste, il a joué dans l'église de la Madeleine à Paris, la Basilique Sacré-Cœur et l'église des Invalides. Il est actuellement directeur des études musicales au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris et chargé de cours au Conservatoire Régional de Cergy-Pontoise.

Philippe Brandeis mène une vie orchestrale intense tant en France qu’à l'étranger, notamment en Angleterre, en Allemagne, en Russie, aux Pays-Bas, en Lettonie, en Italie et en République tchèque. Sa musique d'orgue a figuré dans les bandes sonores de films tels que « Jean de Florette », « Cyrano de Bergerac », « De guerre lasse » et « Coupable d'innocence ».